Audrey

Audrey

Mon tour ailleurs a été créé à l’occasion de mon départ en tour du monde. Ce blog avait vocation a raconter mon voyage à mes proches et à me servir de carnet de voyage pour garder une trace de cette expérience extraordinaire. J’ai donc écris, de septembre 2015 à aout 2016, sur toutes les destinations que j’ai eu l’occasion de visiter, de mon départ dans le transsibérien à mes plongées au Mexique, en passant par l’Inde, la Chine, l’Asie du sud est, la Patagonie, les Galápagos, la Bolivie…. Après avoir décidé de reprendre la route en juillet juillet prochain, j’ai décidé de reprendre la plume.

Une journée à Agra pour visiter le Taj Mahal

Il y a des choses ou endroits dont on rêve depuis toujours. Je rêvais depuis longtemps des pyramides du Caire que j’ai visitées en novembre dernier, de prendre le transsibérien, je l’ai fait en septembre dernier, d’aller en Patagonie, ce sera dans quelques mois, de voir le Désert du Sahara, ce sera pour une prochaine fois… Il y avait aussi dans cette liste l’envie de voir le Taj Mahal, c’est désormais fait aussi, et ça méritait vraiment ce voyage en Inde à mes yeux.

Premiers jours en Inde : rencontre avec les rabatteurs de Delhi

En arrivant à New Delhi en milieu de matinée, après un vol depuis Katmandou, je voulais me reposer un peu. Je m’étais fixée comme seuls objectifs d’acheter un pantalon large et un T-shirt avec des manches courtes, adaptés à mon séjour en Inde, ainsi que mon billet de train pour Varanasi, ma première destination. Il me restera ensuite deux jours pour visiter tranquillement la ville… J'ai finalement passé ma journée à me faire promener par les rabatteurs.

Ces petites choses qui m’ont le plus étonnées en Chine

La Chine, 3ème pays de mon tour ailleurs, restera un souvenir extraordinaire. Je ne savais pas bien ce que j’en attendais, j'ai décidé d'y aller parce que c'était le bout de la ligne du transmongolien, que j'avais adoré mon bref passage à Hong Kong 2 ans plus tôt et que c'est un très grand pays forcément plein de surprises. Et que de surprises effectivement !

Une journée pour visiter Canton

Mon tour en Chine s'est terminé par deux grandes villes : Canton, ou j'ai retrouvé Grace, rencontrée à Irkoutsk, et Hong-Kong, que j'ai retrouvée avec plaisir après l'avoir déjà brièvement visitée il y deux ans.

Plonger dans le Lac Baïkal dans une eau à 4 ° !

Le Lac Baïkal, c’est la plus grande réserve d’eau douce au monde car c’est le lac le plus profond, jusqu’à 7000 mètres de profondeurs au niveau de la faille, de quoi avoir le vertige. Les plongées peuvent s’y effectuer toute l’année, notamment l’hiver sous 1 mètre de glace. Mais aussi l’été, ce que j’ai fait. Enfin l’été… mi-septembre l’eau était à 4 degrés !

Premières impressions sur la Russie : 2 jours à Moscou

Basilique Basile le Bienheureux
Je n’ai passé que 2 jours à Moscou. C’est une ville que j’avais déjà visitée il y a quelques années, donc je souhaitais en avoir un nouvel aperçu rapide, et prendre rapidement le transsibérien. Mais je ne suis pas tombée à la bonne période, le premier week-end de septembre, c’est la « fête de Moscou », et la Place rouge est transformée.

Ma formation plongée en combinaison étanche : je suis agréablement surprise !

J’ai décidé de profiter de mes derniers jours sur la Presqu’île de Rhuys pour faire une formation « plongée en combinaison étanche » car je vais plonger dans le Lac Baïkal quand je serai à Irkoutsk en Sibérie dans quelques jours. Pour en profiter dans les meilleures conditions possibles, il fallait que je puisse plonger en combinaison étanche, car l’eau est à 10 °C maximum en septembre. Je suis déjà bien frileuse en Bretagne quand l’eau est à 15°C, alors à 10 °C !

Le visa russe : une question de détails

Obtenir un visa pour la Russie n'est pas une mince affaire. C’est ce qui m’aura le plus angoissé dans la préparation de mon voyage. J'avais lu que c'était compliqué, que les dossiers étaient souvent refusés, j'ai donc élaboré mon dossier particulièrement soigneusement. Résultat, j'ai eu mon visa du premier coup. J'y ai passé quelques heures, mais finalement, ça n’aura pas été la démarche la plus difficile. Le Visa Chinois et l’achat du billet de transsibérien m’ont donné beaucoup plus de fil à retordre.